Silvesterchlausen

Il y a la "Schööne", il y a la "Wüeschte". Et il y a le "Schöö-Wüeschte". Ils évoquent tous des émotions comme on n'en a jamais vécues auparavant.
C'est notamment pour cette raison que le discours de la veille du Nouvel An est décrit comme la "fièvre la plus saine". Et c'est précisément de ce virus que Thomas Rickenmann parle dans son troisième film après "Schönheiten des Alpsteins" et "Panamericana" dans des images tout aussi impressionnantes. Il n'y a pas de scène qui ne soit marquée par la passion. Rickenmann capture avec sa caméra ce qui n'a jamais été vu auparavant. Personne ne sait exactement d'où vient la coutume. Et pourtant, ou peut-être à cause de cela, elle touche chaque année, le 31 décembre et le 13 janvier, une multitude de personnes de tous âges dans le pays d'Appenzell et au-delà. "Silversterchlausen" est destiné à tous ceux qui veulent en savoir plus sur cette coutume, et surtout c'est un film pour ceux qui veulent revivre la joie des petites choses qui peuvent devenir quelque chose de très grand.