Parler Métier - Ein Werkstattgepräch mit Alexandre J. Seiler

Les contradictions dialectiques dans lesquelles Alexander J. Seiler se meut oscillent entre la patrie et l'étranger, la forme et le contenu, la qualité artistique et la quantité. Au cours d'un entretien d'une heure à propos de l'oevre de sa vie en tant que cinéaste, il fait son propre bilan devant la caméra, qui n'intéressera pas que les futurs cinéastes et amateurs de cinéma: les films tels que «Les fruits du travail», «Ludwig Hohl - un film fragment» ou «Palabres. Une chronique de l'automne 1989 en Suisse» sont des documents importants de l'histoire culturelle suisse, dont l'approche critique de la société perdure jusqu'à aujourd'hui.

PARLER MÉTIER promeut des pensées sur l'influence de compagnons de route artistiques tels que June Kovach, Rob Gnant, Max Frisch ou Peter Bichsel avec des extraits de l'oevre de Seiler. En plus de la réalisation des films, leur ancrage social et les réactions sociales qu'ils ont provoquées sont également traités.

C'est d'une manière autocritique et avec une franchise généreuse que le maestro s'exprime à propos des défis auxquels il a fait face au cours des cinquante dernières années lors de la mise en oevre de ses concepts artistiques.

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Le contraddizioni dialettiche in cui si muove Alexander J. Seiler oscillano tra patria e estero, forma e contenuto, qualità artistica e quantità. In un'intervista di un'ora sul lavoro della sua vita di cineasta, fa un bilancio del suo lavoro davanti alla macchina da presa, che sarà interessante non solo per i futuri cineasti e gli appassionati di cinema: film come "I frutti del lavoro", "Ludwig Hohl - un film di frammenti" o "Palabres. Cronaca dell'autunno 1989 in Svizzera" sono documenti importanti della storia culturale svizzera, il cui approccio critico alla società continua ancora oggi.

PARLER MÉTIER promuove riflessioni sull'influenza di artisti come June Kovach, Rob Gnant, Max Frisch o Peter Bichsel con estratti dal lavoro di Seiler. Oltre alla realizzazione dei film, vengono trattati anche il loro ancoraggio sociale e le reazioni sociali che hanno suscitato.

In modo autocritico e con generoso candore, il maestro racconta le sfide che ha affrontato negli ultimi cinquant'anni per realizzare i suoi concetti artistici.